"Je déchire la lettre. (Quand je viens chez mon père, la première chose que je fais, je recherche mes lettres et je les fous au feu.) Je n'ai jamais aimé écrire. Je n'aime pas laisser des traces de ce que j'écris. Je n'écris jamais ce que je pense. Toutes mes lettres ressemblent aux rapports que j'aurai toujours eu avec mes parents: néant."
Maurice Pialat, Nous ne vieillirons pas ensemble, Galliera, Paris, 1972. p.74.
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Vous êtes (enfin!!) ajoutés aux liens préférés de la CultEnews, bravo pour les deux blogs en miroir, excellente idée!!
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